Les "nouveaux migrants" algériens des années quatre-vingt-dix sont des étudiants, diplômés, chercheurs... Leur départ résulte de conditions de vie économiques et sociales difficiles, mais aussi des menaces de terrorisme. L'exode des cerveaux est bien une réalité.
Même s'ils sont dus aux événements qui déchirent leur pays depuis quelques années, les départs d'intellectuels algériens pourraient bien s'inscrire plus largement dans un mouvement de mondialisation du savoir.